La chose la plus importante à connaître pour cette année est que le commerce devient numérique. Durant le confinement, les entreprises ont dû repenser leur stratégie. Les gens ont été obligés de rester chez eux, favorisant ainsi l’achat en ligne. D’ailleurs, le monde actuel se digitalise de plus en plus permettant ainsi le développement de l’e-commerce.
La déconnexion physique des entreprises et de leurs parties prenantes nécessitera l’adoption de nouvelles technologies afin de maintenir la continuité et de meilleures expériences futures pour tous.
La pandémie et son impact sur l’e-commerce
Gorniak estime que COVID-19 a considérablement accéléré la vitesse à laquelle les gens ont commencé à voir la valeur de la technologie de visualisation. Avec les magasins fermés, la seule option disponible était le commerce électronique. Si les images des produits ne sont pas disponibles, il ne sera pas possible de les vendre. D’autre part, les concurrents peuvent adopter des méthodes beaucoup plus innovantes afin de toucher un plus grand nombre de clients et ainsi optimiser leur vente.
Voici une vidéo parlant du potentiel de la réalité augmentée :
Par exemple, une enquête récente a révélé que 49% des détaillants de meubles envisagent de proposer des achats en réalité augmentée, directement en raison des perturbations causées par COVID-19. Les entreprises vendant des articles manufacturés complexes devraient revoir la manière dont elles engagent leurs clients. Ainsi, la technologie AR peut les aider à le faire.
L’avenir du commerce électronique est propulsé par la réalité augmentée et la 3D
Les consommateurs cherchent en outre des solutions afin d’améliorer leur engagement avec les produits dans le confort de leur domicile. Ils veulent en outre que les marques leur proposent une meilleure expérience.
Les consommateurs continueront probablement de fonctionner dans un mode d’aversion au risque une fois que les mandats d’abri sur place seront levés. Les gens devraient augmenter leur utilisation de l’e-commerce dans les années à venir. L’année dernière, l’e-commerce a représenté plus de 16 % du commerce total.